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jeudi 3 novembre 2016

L'échelle de gravité

Aujourd'hui je vous parle d'une échelle bien pratique pour aider les enfants qui s'énervent vite à redescendre peu à peu et à se calmer. Une échelle pour apprendre à mieux faire face aux contrariétés.

C'est donc l'échelle de gravité.
De la même manière qu'à l'hôpital l'infirmière demande aux enfants "sur une échelle de 1 a 10 à combien notes-tu ta douleur ?", on demande à nos enfants "sur une échelle de 1 à 10 où se situe la gravité de ton problème", les premières fois, la note est souvent très haute et puis, peu à peu elle redescend grâce aux autres notes que l'on a pu donner aux autres problèmes rencontrés.

Cela aide les enfants à relativiser, à hiérarchiser les problèmes qu'ils rencontrent et à sélectionner leurs énervements.
En ayant toujours la même échelle, on peut comparer les évènements les uns avec les autres.

Pour fabriquer l'échelle, toujours un matériel très impressionnant :
- un crayon
- un papier

Ceux qui veulent une belle échelle peuvent la créer sur ordinateur mais ce n'est absolument pas nécessaire pour pouvoir s'en servir.

On trace un segment. 0 d'un côté, 10 de l'autre et on découpe le segment en 10 parts égales et c'est tout.
Pour ceux qui veulent garder une trace des problèmes rencontrés, vous pouvez faire l'échelle au milieu d'une grande feuille et annoter ensuite les différents problèmes rencontrés pour que l'enfant puisse situer son ressenti par rapport à la gravité réelle du problème. Garder des traces aide à se situer et à faire un feed-back après la crise.

Une fois que l'astuce est bien installée, sa simple évocation peut permettre de faire retomber le soufflet.


vendredi 30 septembre 2016

Les grands sages

Des grands sages, sages...
Voilà un jeu qui pourra vous permettre d'aider vos enfants à trouver des solutions à leurs conflits. Je dis "vos" parce que les miens ne se disputent jamais, ça se saurait...

Donc, prenez des enfants, les vôtres si vous voulez être plus pertinents, et faites-les se disputer un peu. En fait pas besoin d'attendre très longtemps, ça devrait venir naturellement. Au sommet de leur dispute, intervenez en leur proposant  des grands sages pour les aider à régler leur différent. Ces grands sages seront...ceux qui ne sont pas impliqués. Au besoin, confectionnez une ou deux longues barbes postiches qu'ils revêtiront pour ces occasions. Les enfants qui se disputent, s'ils l'acceptent, peuvent donc prendre conseil auprès du ou des grands sages qui proposera des solutions en leur disant "voulez-vous que je vous aide à trouver une solution qui vous convienne à tous les deux ?".
Laissez agir.
Rigolez bien dans votre coin, les propositions peuvent être vraiment instructives !
Et laissez les choisir LA solution qui conviendra aux deux belligérants.

Y a-t-il des grands sages par ici ?

NB : C'est aussi un bon jeu pour les zèbres, ils adorent proposer des solutions et résoudre des problèmes complexes !

jeudi 1 septembre 2016

Demandez et vous obtiendrez



Le titre n'est pas de moi... évidemment, mais peu importe il me convient (et j'estime beaucoup la Personne qui l'a dit). Il pourrait résumer ma ligne de conduite pour cette année.

L'un de mes très gros défauts est que j'ai du mal à demander quand j'ai besoin d'un service, du coup je demande mal et je n'obtiens rien. Opération chou blanc très très fréquente. Et puis c'est souvent tellement facile de faire soi-même. On est certain du résultat, pas de dégâts collatéraux (ou en tout cas pas visibles au premier coup d'oeil), personne à déranger, on  est totalement indépendant, et en prime notre fibre perfectionniste qui est titillée pour faire toujours mieux.

Oui mais à ce petit jeu on s'épuise. Et puis on râle et puis on rumine tant et plus parce que décidément personne ne nous aide (normal, on a rien demandé à personne).
Alors, avoir cette petite phrase dans la tête : "demande et tu obtiendras", c'est peut-être le début d'un antidote pour éviter le burn-out, éviter que notre perfectionnisme parfois mal-placé nous emmène au bout de nos capacités.

vendredi 6 mai 2016

Non au harcèlement



Ce n'est pas grave...un  film très bien fait pour parler avec son enfant du harcèlement !
Et, s'il est concerné, il y a toujours ce bouquin très bien fait d'Emmanuelle Piquet : Je me défends du harcèlement.





Ou encore celui pour les adultes qui souhaitent accompagner un enfant concerné :


mercredi 27 avril 2016

le diner hum hum


Ou l'écoute active pour les nuls.
Ou encore Mr Jourdain pratique l'écoute active sans le savoir.

Nos rythmes actuels nous permettent peu de passer du temps de qualité avec nos enfants. Et parmi ces temps, il y en a un qui subit de plein fouet cette désynchronisation, c'est le repas familial.
Nous avons moins de temps pour nous asseoir tous ensemble autour d'une table et prendre un repas ensemble. Chacun va et vient au gré de ses activités et parfois il ne reste guère que le week-end pour partager sa table avec ceux qui nous sont chers.

Et pourtant, si on veut apaiser les tensions, créer de bons moments familiaux, écouter les uns et les autres, c'est  THE place to be.

vendredi 22 avril 2016

Petite astuce hyperacousie

Si, comme moi, vous avez des enfants qui souffrent d'hyperacousie (hypersensiblité de l'ouïe qui rend tout bruit insupportable, notamment quand l'enfant est fatigué), voici un petit objet qui devrait pouvoir vous aider :

Des  bouchons d'oreilles  !


L'Albatros et Le P'tit Prince sont beaucoup plus sympas depuis que nous avons cet article à la maison ! J'avais hésité avec le casque anti-bruit, mais finalement  j'ai choisi le moins coûteux et le moins encombrant des deux et je ne regrette pas !
Plus d'Albatros qui hurle sur les autres dès 7 heures du matin, crois-moi, ça vaut bien ce prix-là !
Ne dit-on pas que le silence est d'or ?


jeudi 17 mars 2016

Le zèbre et l'école, suite



Dans le précédent article, nous en étions restés à nos moyens de parents pour que les choses ne se passent pas si mal avec notre enfant. Reste notre deuxième interlocuteur après notre enfant : l'école, l'équipe éducative et en premier lieu l'enseignant de notre enfant.
Bâtir une mauvaise relation est extrêmement facile et rapide : arriver avec tout notre passif, notre histoire personnelle, familiale, nos affects, projeter toutes nos demandes (y compris celles qui réparent notre passé), avoir des exigences précises, agressives et qui ne souffrent pas la discussion, être épuisé et incapable de faire la part des choses et de communiquer de manière bienveillante et constructive, en oubliant même parfois la raison d'être de notre rendez-vous : le bien-être scolaire de notre enfant. Bref, cela peut vite déraper, chacun reste campé sur ses positions, cherche à préserver son territoire, tous les ingrédients sont réunis pour un dialogue de sourd ! Je vous décris là le cauchemar mais moyennant quelques petites précautions on peut rendre les choses plus faciles, ou, en tout cas, mettre toutes les chances de notre côté.

Comme d'habitude, on va faire de notre mieux tout en acceptant de lâcher-prise sur ce qui ne dépend pas de nous.
Donc, on reprend depuis le départ...


  1. Mettons de côté notre propre histoire, notre propre ressenti par rapport à l'école. Nous sommes là pour mieux comprendre notre enfant, mieux communiquer. L'enfant doit ressentir une alliance entre ses parents et les enseignants pour réussir.
  2. Ne pas oublier notre état émotionnel qui ne facilite pas toujours une communication sereine
  3.  On recherche la bienveillance dans notre manière de s'adresser aux profs. Si l'enseignant manifeste une réticence ou de l'agressivité, peut-être que nous n'avons pas choisi les bons termes pour évoquer la précocité de notre enfant, le bon moment pour en parler, peut-être que cet enseignant n'est pas réceptif et qu'il vaut mieux s'abstenir et préférer un entretien avec le chef d'établissement qui abordera cela plus paisiblement ensuite avec l'enseignant. Quoi qu'il en soit, il faut à tout prix éviter la guerre ouverte (et même larvée). Notre enfant en fera toujours les frais ! Restons diplomate, respectueux, disons à notre enfant que nous comprenons ses problèmes mais ne ferraillons pas !
  4. Faisons un court exercice d'empathie. Mettons-nous à la place du prof. Ses contraintes sont fortes : 30 élèves, des profils pas forcément simples à gérer dont votre enfant qui le remet parfois plus en question que les autres, des injonctions académiques, un parcours personnel...
  5. Soyons conscients que l'école ne pourra pas toujours répondre à notre demande et ce n'est pas forcément de la mauvaise volonté ! L'enseignant est soumis à un certain  nombre de contraintes qui ne lui permettront pas d'assurer une prise en charge idéale. Il va falloir accompagner l'enfant pour qu'il apprenne à s'adapter.
  6. Si le test a été fait, ne pas hésiter à expliquer (si et seulement si l'enseignant nous semble réceptif) les points forts et les points faibles de votre enfant pour que l'enseignant puisse s'appuyer dessus.
  7. Exprimons notre problématique en parlant au "je" : ex :"je suis inquiet parce que mon enfant rentre très démoralisé de l'école. Je me demande s'il ne rencontre pas des difficultés. Je ne sais pas comment l'aider..." et laissons l'enseignant exprimer son point de vue.
  8. N'arrivons pas avec une solution toute faite. La collaboration avec l'école nécessite que nous trouvions ensemble la solution qui conviendra à notre enfant, dans cette école et avec cet enseignant. Du sur-mesure qui ne peut être décrété ni d'un côté, ni de l'autre. Même si le psy a dit "il faut un saut de classe", il vaut mieux aborder l'entretien sans cette solution et voir ce qui peut être proposé par rapport à la problématique de notre enfant. S'il ne fallait retenir qu'un seul point, ce serait celui-là !
  9. Si c'est l'enseignant qui nous a convoqué, écoutons les doléances et discutons-en avec amour et compréhension avec notre enfant comme d'un problème à régler.
  10. Respectons nos territoires respectifs. Pas d'ingérence dans la sphère de l'école si ce n'est pour soutenir une action concertée et réfléchie.


Enfin, un onzième point que l'on oublie parfois...
Parfois nous pouvons avoir des choix à faire (changement d'école, de classe...). La réticence ou le refus de notre enfant ne doivent pas être pris à la légère. Forcé, l'enfant se sentira trahi. Il pourra s'engager résolument dans la voie de l'échec.

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jeudi 10 mars 2016

Le zèbre et l'école




Ahhh ! Vaste sujet !
Entre le prof qui n'a rien compris, notre enfant qui donne le meilleur de lui-même pour le faire et nous faire tourner en bourrique, voilà un sujet qui en rend chèvre plus d'un !

Là encore, je prends le parti de m'appuyer sur les points forts plutôt que que de ressasser les points faibles qui feront parler d'eux de toute façon.

Soyons réalistes, l'école idéale n'a jamais existé, n'existe pas et n'existera jamais. Il va donc falloir trouver un moyen de tirer parti d'une situation pas toujours favorable en accompagnant notre enfant. 

Je choisis donc volontairement de ne traiter ici que des solutions qui sont à notre portée, qui ne nécessite pas forcément des moyens énormes, ni la prise en charge par des personnes extérieures.
Il est évident que certaines situations nécessitent un accompagnement supplémentaire: graphothérapeutes, psys, psychomotriciennes, coachs, etc...ce n'est pas l'objet de cet article.
Je ne parlerai pas non plus de tout ce qui peut être mis en place par l'équipe éducative (et il y a finalement pas mal de choses possibles, pas seulement le saut de classe).

Les difficultés rencontrées par le zèbre sont principalement (liste non exhaustive...):

  •  son agitation, ses questions intempestives, sa provocation, 
  • son ennui, son désintérêt, 
  • son sens de l'effort quasi inexistant parfois
  • sa manière d'apprendre ses leçons, faire ses devoirs (leçons non apprises, raisonnement non développé, consignes non comprises, hors sujets, impossibilité d'expliquer son raisonnement...)
  • ses difficultés psychologiques, ses angoisses (échec, performance, phobie scolaire) 
  • ses difficultés structurelles (écriture catastrophique, troubles dys..., mauvaise organisation, troubles du sommeil...)
  • Son incapacité à travailler avec d'autres qui n'ont pas le même rythme
  • son hypersensibilité et son sens de la justice qui peuvent dresser un mur entre le prof et lui, entre les autres enfants et lui, entre l'apprentissage et lui.
Quelques tuyaux quand même pour s'en sortir :

vendredi 9 octobre 2015

Le vendredi c'est filmographie : Les quatre filles du docteur March


Encore un bon film vu en famille (même si n° 3 et 4 n'ont vu que la moitié).
Ce grand classique de la littérature est une petite pépite pour les zèbres notamment.
On y retrouve un très beau spécimen en la personne de Joséphine qui, malgré ses maladresses permanentes, son côté inadapté à la vie sociale, a des dons particuliers.
J'ai trouvé ce film intéressant car l'aspect vie de famille qui est le centre du film nous montre aussi des attitudes de la maman face à ce volcan de fille (et aux autres filles qui ont chacune leur spécificité et leur caractère).
Une bonne manière aussi de montrer à nos enfants que, malgré des gros défauts un peu pénibles pour tout le monde, ils ont chacun des dons à faire fructifier.

vendredi 31 juillet 2015

Vice versa

Les vacances et deux ou trois autres choses ne m'ont pas laissé l'occasion de vous conter notre virée au cinéma avec les 4 pioupious pour aller voir Vice versa.

Alors...Par quoi commencer...
J'avais entendu parler de ce film depuis longtemps, le thème me parlait particulièrement, j'avais vu quelques extraits et enfin, je me disais que certains d'entre nous pourraient bien en tirer quelque chose.
Bref...J'avais une attente assez forte (c'est un euphémisme).

Concrètement parlant, il faisait chaud, très chaud dehors et dans mon appart aussi. Le cinéma, lui, était climatisé. Raison de plus pour y aller.

Plus concret encore, la Paupiette faisait partie de l'équipée. Elle ne nous a pas déçus. Elle a même été carrément à la hauteur de ses capacités de bougillon. J'ai passé ma séance avec un petit ressort qu'il fallait faire taire régulièrement. De quoi aborder sereinement la séance.

Donc...

Petit rappel du sujet du film : nous suivons Riley, pré-ado américaine, fan de hockey sur glace, obligée de déménager à San Francisco avec ses parents. L'intérêt de cette histoire est que nous avons accès aux émotions de Riley via des personnifications de ses émotions et une représentation allégorique de son cerveau.
Jusque là, rien à dire, c'est plutôt intéressant d'apprendre comment cela fonctionne là-haut.
Et puis quoi de mieux qu'un déménagement pour générer la confusion des sentiments dans un cerveau d'enfant ?
Les petits personnages des émotions sont plutôt rigolos, la représentation du cerveau plutôt bien vue. (sauf pour les moins de 8/9 ans à qui ces représentations parlaient peu)
Il y a un certain nombre de dialogues bien vus, de situations bien croquées. J'ai particulièrement retenu la manière de représenter le passage de l'enfance à l'adolescence avec la disparition de la puissance d'imagination de l'enfant. Elle est représentée sous la forme de l'ami imaginaire qui disparait peu à peu, tombant dans le néant des souvenirs. J'ai pour ma part un souvenir très marquant de cette disparition. Petite, je jouais énormément aux Playmobils, inventant des histoires sans fin et, du jour au lendemain, cette source d'inspiration s'est tarie. Impossible de relancer la machine à histoires. Une page venait de se tourner sans crier gare.
Il y a aussi une excursion dans les cerveaux du père et de la mère qui vaut son pesant de cacahuètes !

De mon point de vue d'adulte, je n'ai pas totalement été emballée par ce film, peut-être les remous de la Paupiette m'ont-ils empêchée de me concentrer ? Je l'ai trouvé long par moment et pas forcément aussi intéressant que je l'avais imaginé.
Les enfants, eux, ont beaucoup apprécié en revanche. Notamment les deux grands. J'irais même jusqu'à dire que le film leur a fait du bien, ils ont appris des choses sur leur fonctionnement, sur leurs émotions, sur leurs colères, leurs tristesses, leurs joies. D'un certain point de vue, ils se comprennent mieux depuis. Notamment celui qui avait besoin de ceci. Il est devenu plus facile de parler des émotions de chacun ensemble. Un vrai bénéfice !

Bilan : un film moins bien que prévu pour moi mais très intéressant pour les enfants.
Du coup le verre à moutarde Vice versa fait un tabac à la maison !

NB :  pour les petits zèbres, c'est intéressant aussi !

lundi 13 juillet 2015

Stop & go

stop-think-go


Une petit image de la Fabrique à bonheurs...Pour aider nos enfants (et nous aussi, pourquoi pas ?)
On s'arrête 30 secondes, on pense à ce que l'on ressent et  puis on fait autre chose. Une autre version du "tourner 7 fois sa langue dans sa bouche"
Apprendre à faire une pause avant de foncer tête baissée...
ça marche aussi pour les grands (parait-il !).


vendredi 10 juillet 2015

Un peu de maths ?



Voilà, à peine en vacances, je vous ressers des maths, pfff...
Mais pas n'importe quels maths, les maths vus par Disney. Une autre manière de parler des mathématiques !
Donc...ni vu ni connu je t'embrouille, on met les enfants devant et c'est parti pour des devoirs de vacances indolores....

mercredi 1 juillet 2015

Le mercredi c'est bibli : Mes jeunes années


De Winston Churchill.

Quand Churchill prend sa plume pour raconter ses jeunes années, ça vaut son pesant de cacahuètes. Un drôle de zèbre qui nous aide à comprendre justement ce qui peut bien se passer dans un cerveau décalé comme celui des zèbres.
Et comme un Churchill avait un humour savoureux, british à souhait, on boit du petit lait en le lisant...
Je ne résiste pas à l' idée de vous recopier quelques lignes ici pour que vous puissiez juger sur pièce.

mardi 31 mars 2015

Repeat please...

Coco, file ranger ta chambre, ça fait dix fois que je te le demande...
En ce moment, je suis particulièrement concernée par cette problématique, cette sensation étrange et gonflante de parler une langue étrangère. Cette impression de répéter sans cesse les mêmes choses, de tourner en boucle, d'être un magnéto...
Alors je cherche comment éviter d'avoir l'air d'un perroquet furibard dès potron-minet. Comme ma mémoire ne tourne pas bien rond en ce moment, j'ai décidé de me faire un petit mémo à aller regarder dès que je sens que ça déraille (et que donc je radote).

vendredi 16 janvier 2015

Pourquoi nous mangeons des pâtes le mardi...

Oui, définitivement, vous saurez tout sur ma vie...
Car voyez-vous, nous mangeons des pâtes le mardi soir (ou plutôt nous mangions, c'est du passé désormais).
Parce que le conservatoire c'est nul a dit le P'tit Prince.
Il l'a dit tellement
Il a tellement pleuré pour ne pas y aller...qu'un jour je me suis dit : " mais, tient, on va essayer cette belle fumisterie (naaaann je rigole) de la résolution de problème, mouahah, si on arrive à quelque chose avec cet engin-là, alors champagne !"
Aussitôt dit
Aussitôt fait

mercredi 7 janvier 2015

Comment te sens-tu aujourd'hui ?


Je vous parlais l'autre jour de ces personnes qui me pensent télépathe. Pour ces mêmes personnes, j'avais mis il y a quelque temps ces affichages sur mon frigo. A l'époque, j'avais créé des petits pions aimantés pour chacun des membres de la famille (en sachant pertinemment que l'outil serait plus utile à certains qu'à d'autres, mais  chut...).
Quelques mois plus tard, les pions ont tous terminé dans le sac de mon  aspirateur mais les affiches, elles, demeurent. Et pas en pure perte...
En effet, la personne que je visais avec cet affichage,  celle qui a le plus de mal, le plus de pudeur aussi pour dire ce qu'elle ressent, cette personne se plante régulièrement devant. Elle choisit d'ailleurs souvent un moment où je suis moi aussi dans la cuisine (comme par hasard ;-)). Et elle se dit "aujourd'hui je me sens"...et elle récupère les qualificatifs qui lui conviennent et elle ose enfin, même si c'est toujours très discret, nommer ses besoins.
OUF !
Cela me permet d'avoir un tout petit peu accès à ces émotions et de pouvoir ainsi mieux orienter mon  aide éventuelle.
Cela ne sert vraiment qu'à cette personne, mais ça valait le coup de le laisser sur le frigo !



mardi 18 novembre 2014

Les 5 secrets du bonheur en famille vus par une maman d'enfant autiste


Découvrez les secrets de cette maman pour du bonheur au quotidien. 5 secrets qui aident à bien relativiser...
Je vous laisse en profiter !

jeudi 18 septembre 2014

Froggys ou l'art de trouver une solution

Affiche pour résoudre ses conflits sans violence

Source : Charivari

Alors voilà...Malgré tous mes efforts, mes charmants bambins restent régulièrement à s'étripper tant et plus coincés lorsque l'ombre d'un conflit fraternel se pointe.
Je vous avais dit qu'en navigant professionnellement je vous trouverai des pépites et bien en voici une ! Une petite roue de la fortune solution pour aider nos chéribibis à arrêter de s'entretuer pour si peu.
Une affiche de plus dans les toilettes la pièce familiale réservée à la méditation et au temps personnel. 
Si ça peut donner des idées, c'est toujours ça de pris ! 



vendredi 27 juin 2014

Les 5 C


Chez nous, nous essayons de donner un sens aux règles que nous demandons à nos enfants de suivre et de comprendre. Mais souvent parfois...on sort les 5 C.  " C'est Con mais C'est Comme Ca !".
Parce que même les adultes doivent régulièrement accepter les 5 C (pourquoi dois-je faire la queue à deux guichets en même temps pour obtenir le même papier, hein ? Parce que c'est comme ça.).
Autant te dire qu'avec l'Albatros on s'en sert ! Parce que finalement même cette "non-explication" est une explication malgré tout et permet d'accepter, même si c'est parfois absurde. Cela n'enlève en rien l'esprit critique.
Bref...je kiffe les 5 C. Surtout en ce moment...

Je vous reparlerai des "vrais" 5 C en éducation un peu plus tard...Les 5 C décrits aujourd'hui sont  plus particulièrement utiles aux ados et pré-ados. Comme si je commençais à être un peu concernée...