lundi 29 juillet 2013

Un credo pour la vie

Ne te sous-estime pas
en te comparant aux autres.
C'est précisément parce que nous sommes
tous différents
que nous sommes tous uniques.
 
Ne fixe pas tes buts en fonction
des autres.
Toi seul sais ce qui est bon pour toi.
 
Sois toujours à l'écoute de
tes plus profonds désirs.
Tiens à eux comme tu tiens à la vie,
car sans eux, la vie n'est rien.
 
Ne laisse pas la vie filer entre tes doigts
en songeant au passé ou en rêvant à l'avenir.
Vis ta vie jour après jour,
et tu vivras ainsi intensément
chaque jour de ta vie.
 
Ne baisse pas les bras tant que tu as encore
quelque chose à donner.
Rien n'est jamais perdu...
tant que tu continues de lutter.
 
N'aie pas peur d'admettre
que tu n'es pas parfait.
C'est ce lien fragile
qui nous relie les uns aux autres.
 
N'aie pas peur de prendre des risques.
C'est en prenant des risques
que le courage s'apprend.
 
N'écarte pas l'amour de la vie
en prétendant qu'il n'existe pas.
 
Le meilleur moyen de trouver l'amour
est de le donner ;
le meilleur moyen de le perdre
est de le retenir prisonnier ;
et le meilleur moyen de le garder
est de lui donner des ailes.
 
N'étouffe pas tes rêves.
Ne pas avoir de rêve, c'est être sans espoir ;
être sans espoir, c'est errer sans but.
 
Ne fuis pas en avant tout au long de ta vie
de sorte que tu oublies d'où tu viens
et où tu vas.
La vie n'est pas une course,
mais un voyage dont il faut savoir goûter
chaque étape.
 
Nancye Sims

samedi 27 juillet 2013

Le lexique de Milou

Milou est à l'âge où les mots, faute de pouvoir les lire et les écrire, ne sont que conglomérats de sons dont on ne sait pas très bien où ils commencent et où ils s'achèvent.
Aussi, voici quelques exemples...

Saurez-vous retrouver les véritables mots cachés derrière les déformations ?

- Le diavel
- Une stagada
- Marie la reine de l'autoroute
- Viens à Jésus ton chauffage
- les crottes de nez séchées

A vous de jouer...

mercredi 24 juillet 2013

Le mercredi c'est bibli : Jade et les sacrés mystères de la vie



C'est un petit livre, tout petit, tout discret, on hésite même à l'ouvrir tellement la silhouette qui orne la couverture est frêle et pourtant...Offert à des ados, il fait des merveilles, et pour les adultes il redonne la fraîcheur, l'allant nécessaire pour se donner un souffle nouveau.
Une petite pépite si petite qu'on pourrait l'oublier et oublier de réenchanter son quotidien...

vendredi 19 juillet 2013

Espérance

Charles Péguy "Le Porche du Mystère de la deuxième vertu", 1912 :

Ce qui m'étonne, dit Dieu, c'est l'espérance
Et je n'en reviens pas.
Cette petite espérance qui n'a l'air de rien du tout.
Cette petite fille espérance.
Immortelle

Car mes trois vertus dit Dieu,
Les trois vertus mes créatures,
Mes filles, mes enfants,
Sont elles-mêmes comme mes autres créatures,
De la race des hommes.
La Foi est une Epouse fidèle,
La Charité est une Mère,
Une mère ardente, pleine de cœur,
Ou une sœur aînée qui est comme une mère.
L'Espérance est une petite fille de rien du tout,
Qui est venue au monde le jour de Noël de l'année dernière,
Qui joue encore avec le bonhomme Janvier
Avec ses petits sapins en bois d'Allemagne. Peints.
Et avec sa crèche pleine de paille que les bêtes ne mangent pas,
Puisqu’elles sont en bois.
C'est cette petite fille pourtant qui traversera les mondes.
C'est cette petite fille de rien du tout.
Elle seule, portant les autres, qui traversera les mondes révolus.
La petite espérance s'avance entre ses deux grandes sœurs et on ne prend seulement pas garde à elle.
Sur le chemin du salut, sur le chemin charnel, sur le chemin raboteux du salut, sur la route interminable, sur la route entre ses deux sœurs la petite espérance
S'avance.
Entre ses deux grandes sœurs,
Celle qui est mariée,
Et celle qui est mère.
Et l'on n'a d'attention, le peuple chrétien n'a d'attention que pour les deux grandes sœurs,
La première et la dernière,
Qui vont au plus pressé,
Au temps présent,
A l'instant momentané qui passe.
Le peuple chrétien ne voit que les deux grandes sœurs, n'a de regard que pour les deux grandes sœurs.
Celle qui est à droite et celle qui est à gauche.
Et il ne voit quasiment pas celle qui est au milieu.
La petite, celle qui va encore à l'école.
Et qui marche,
Perdue entre les jupes de ses sœurs.
Et il croit volontiers que ce sont les deux grandes qui traînent la petite par la main.
Au milieu.
Entre les deux,
Pour lui faire faire ce chemin raboteux du salut.
Les aveugles qui ne voient pas au contraire,
Que c'est elle au milieu  qui entraîne ses deux grandes sœurs.
Et que sans elle elles ne seraient rien.
Que deux femmes déjà âgées.
Deux femmes d'un certain âge.
Fripées par la vie.
 C'est elle, cette petite, qui entraîne tout.
Car la Foi ne voit que ce qui est
Et elle voit ce qui sera
La Charité n'aime que ce qui est
Et elle aime qui sera.

mercredi 10 juillet 2013

Le mercredi c'est bibli : Calme et attentif comme une grenouille...

Vous avez des enfants un brin agités, qui ont du mal à se concentrer, vous même, vous vous énervez facilement...Difficile de mener une vie familiale sereine dans ces conditions...

Envie de faire une pause ?
Envie d'un moment de calme ?
De se recentrer sur soi-même ?
De retrouver une bonne concentration ?
De passer un moment de qualité avec ses enfants ?

Oui, d'accord mais vite, c'est que je n'ai pas des masses de temps moi, il me faut un truc rapide et efficace !

J'ai peut-être une ébauche de solution...
Si vous avez un lecteur de CD, alors je vous apporte ça sur un plateau :

Calme et attentif comme une grenouille, c'est un livre et un CD, un truc pas bien loin de la méthode Vittoz (pour celles qui connaissent) qui permet de se recentrer en quelques minutes grâce à des petits exercices rapides, bercés par la douce voix de Sarah Giraudeau qui guide ces petites méditations.

Une méthode simple, pas à pas pour avoir des enfants sereins à la maison et à l'école (ça marche aussi extrêmement bien pour les maîtresses et leurs élèves...)
Je vous laisse découvrir ça avec cette petite vidéo...


lundi 8 juillet 2013

Comment être heureux ?

1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples. 
2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure. 
3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres. 
4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde. 
5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites. 
6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter. 
7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais. 
8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur. 
9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures. 
10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises. 
11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi. 
12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux.

Robert Louis Stevenson, 1850-1894

vendredi 5 juillet 2013

Y a de la joie ! Enfin les vacances !



Enfin, on va changer d'air, changer d'aire, changer de temps (plus de réveil, quel bonheur) changer de météo ?  Changer d'évier (ben quoi ?)

Last minute.com ou la viande dans le torchon

Les départs en vacances approchent et avec eux les valises...(pffff...le coup de grâce)

Je ne sais pas pour vous, mais chez nous, il y a au moins une semaine dans l'été pour laquelle nous devons apporter nos draps.(et avec eux la perspective Ô combien réjouissante de faire et défaire des lits à l'infini)

Cette année, je commençais à projeter d'éventuellement faire mon sac de draps (ça me saoule grave comme on dit) quand tout à coup un éclair dans ma tête, une résurgence du passé, un flash de "sac à viande " (si quelqu'un a une autre appellation, je suis preneuse, c'est vraiment trop moche).
Et justement, récemment, les voisins du dessus qui vidaient leur appart nous ont refilé quelques draps...

Le principe : un drap tout en un, dessus et dessous à la fois. Plus de drap housse à emporter, plus de housse de couette non plus...
Bilan  : trois fois moins d'encombrement dans les bagages, partie de rigolade pour faire les lits et ni une ni deux pour les défaire ensuite. Un pensum en moins, c'est toujours bon à prendre.

Comme je sens que vous bouillez de voir la chose en vrai de vrai, voici le tuto pour un bon sac à viande des familles ...(pas encore trouvé le truc pour les lits doubles...j'y songe...)